Camp de base des Annapurna et balcon des Dhaulagiri
Carnets de voyages - Asie Pacifique - Népal - 22.12.2021
Ce matin grand ciel bleu à Kathmandu. Notre vol pour Pokhara est prévu à 8h20. Comme toujours la salle d’attente est bondée. Très peu de touristes étrangers en cette fin novembre. Entre Kathmandu et Pokhara, le vol offre des vues magnifiques sur l’Himalaya.
C’est ce qui se passe habituellement, surtout à cette époque de l’année. Sauf qu’à 8h20, aucun vol n’a encore décollé pour Pokhara. Tous les vols sont repoussés pour brume excessive à Pokhara. Le nôtre est repoussé à 09h, puis 09h30 puis 10h30, puis 11h. Finalement tous les vols sont annulés pour aujourd’hui. A Sujit (notre responsable pour Tirawa au Népal) d’entrer en action. Efficacité oblige, en moins de 20 mn, un véhicule nous attend pour nous transporter à Pokhara. Avec une circulation dense constituée d’une majorité de camions et de bus, sept heures de route pour 200 km soit 30 km/heure sont nécessaires pour rejoindre Pokhara. Doubler relève de l’aventure, une prise de risque en apparence, mais comme tout véhicule s’attend à voir quelqu’un arriver en sens inverse, tout se passe bien. La première fois que j’ai emprunté cette route sinueuse à volonté, c’était en 1980. Depuis rien n’a changé sauf le trafic de plus en plus dense.
Vu l’heure tardive, nous dormons à Pokhara, la montée à Gandrung est repoussée à demain matin.
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