De Honshu à Okinawa
Carnets de voyages - Asie Pacifique - Japon - 26.03.2018
Voici en première partie un texte écrit par Béatrice et Claude… Ces propos n’engagent qu’eux même…
Après une heure trente de route sinueuse dans la montagne, nous arrivons au point de départ de notre randonnée (Yodogo, 1300 m).
Avant d’arriver au point de départ, stop devant l’un des vieux cèdres du parcLe KigensugiUn autre cèdre, certainement aussi vieux de quelques milliers d’annéesLes « experts » (NDR, ce texte, écrit par deux personnes du groupe ci-avant nommé, mérite quelques bémols et correctifs que le lecteur attentif pourra compulser à la fin de ce chapitre !), partis sur les chapeaux de roue, ont vite distancé les « esthètes » (NDR bis, pour ce groupe, ce nominatif est ma foi bien choisi !). Notre marche qui a débuté à couvert dans la forêt, s’est poursuivie sous un soleil généreux. La troupe des « experts » en marcheArrivée vers une zone de marécagePensant (?) que le chemin initialement prévu (vers le Mt Kuromidake) était fermé, nous avons pris une autre direction pour gravir un sommet différent. Dans la montée, de nombreux obstacles ont été franchis brillamment à l’aide de cordes fixes servant à se hisser sur les gros rochers granitiques.Avec des cordes fixes pour progresser... sur le mauvais itinéraireSur le trajet du retour, nous croisons Bernard qui surgi su sentier « interdit », nous encourageant à faire aussi cette ascension manquée. En vérité ce nouvel effort en valait vraiment la peine. Au sommet nous avons sympathisé avec un groupe de japonais arrivés avant nous.
Trois « expertes » au sommet du KuromidakeAu sommet, la mer de nuagesCascade de photographes pour le groupe de japonais qui campe au sommetPuis nous avons entamé une très longue descente, toujours semée d’embuches.
Telles des griffes, de puissantes racines semblent vouloir capturer nos pieds à chaque pas...Un groupe de singesDe retour à l’hôtel, les bains chauds japonais ont été agréablement appréciés.
Après l’effort... le réconfort et les « birrus » (bières en japonais)
Note de la rédaction de cet article.
En prenant comme maxime une célèbre phrase tirée d’une fable de La Fontaine… « Rien ne sert de courir… il faut partir à point », le groupe des « Esthètes » a donné un nouveau surnom aux soi-disant « experts ». Désormais, nous allons les affubler du surnom « Gros mollets, petites têtes »… C’est juste pour rire les amis !
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